23/02/2011

I quote, you quote, we...

Enfin! Ma panne de lecture a pris fin! Et ce, grâce à l'indubitable talent de Meg Cabot, évidemment... N'écoutant que mon courage, j'ai décidé de poursuivre immédiatement avec un autre roman, This pen for hire, de Laura Levine, premier tome des aventures de la brillante et géniale Jaine Austen (rien que ça, c'est bon signe) (et le deuxième bon signe, c'est que cette série compte neuf tomes, de quoi satisfaire la psychopathe obsessionnelle qui s'éveille en moi quand je découvre un roman que j'adore)! J'attends généralement de terminer un bouquin pour venir poster mon avis dessus. Or, je n'en suis rendue qu'à la moitié (shame on me), mais cette première moitié m'ayant déjà valu moultes fous rires, je ne résiste pas à suivre à mon tour la mode de la citation. Un passage pris au hasard, mais qui résume relativement bien, l'état d'esprit du bouquin:
(Jaine, après des années de disette affective et sexuelle post-divorce, a eu un premier rendez-vous avec le beau Cameron, et rentre chez elle un soir pour découvrir un message de lui sur le répondeur.)
"I got a squishy feeling in the pit of my stomach when I heard his voice on my machine. I tried to tell myself it was just indigestion, but I knew better. I was falling for the guy.
"Hi, Jaine. It's Cameron. You free for dinner tonight? Call me at work. 555-4849."
My heart leapt. He wanted to have dinner. Unlike our trip to see Marian's movie (where I'd paid for my own ticket), this sounded like a real date to me. True, Cameron was probably gay. But I didn't know that for sure. Maybe he was ambivalent about his sexuality. Maybe all it would take to turn the tide was the love of a good woman with a kind heart and generous thighs."

Sans vouloir trop en révéler, inutile de dire que leur deuxième rendez-vous ne se passe pas franchement comme Jaine l'avait prévu! Mais assez... Je reviendrai vous en dire plus quand je l'aurais terminé!

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