26/04/2010

Week-end feel good




Mode d'emploi pour passer un week-end sympa, reposant, ensoleillé et distrayant:

Vendredi soir: aller dîner en terrasse en buvant un verre bien frais.
Pour nous, c'était au Verre Siffleur dans le 14ème, un bistrot sympa avec une chouette terrasse qui donne sur la rue d'Alésia où les plats sont simples, bons et généreux.

Samedi: Pique-nique au parc Montsouris, qui pour une fois n'était pas bondé de monde grâce aux vacances scolaires. Tricot et bouquin sous un arbre, puis sorbet aux fruits bio délicieux. La fin d'après-midi était consacrée au shopping, et soirée entre copines...


Dimanche: Marathon Gilmore Girls. Cela faisait bien trop longtemps que je n'avais pas regardé, et franchement quelle meilleure façon de passer son dimanche qu'en pyjama devant sa série préférée? On s'est enchaîné la fin de la saison 3 et une bonne partie de la saison 4... Malgré le début du printemps, l'hiver à Stars Hollow laisse quand même rêveuse, la neige, les bons petits plats de Luke...

Bilan: Tu as pris l'air et le soleil, tu t'es acheté des jolies sandales, tu t'es reposée et tu as vu tes copines (réelles et imaginaires). Bref, tu as passé un bon week-end qui t'a aidé à oublié les soucis et à reprendre la semaine en ayant hâte d'être au week-end prochain!

Only three episodes left...


La saison 3 de Gossip Girl touche malheureusement bientôt à sa fin! Et voici une nouvelle promo très courte:
Comme le laisse voir ce nouveau poster, Blair sans Chuck va rapidement redevenir la Queen Bitch de l'UES... Oooh!


21/04/2010

Thieves by She and Him





C'est le retour du duo formé par Zooey Deschanel et M Ward avec leur deuxième album sobrement intitulé Volume Two. Je l'ai écouté, mais je ne sais pas encore si j'aime bien ou si j'adore, cela demandera encore quelques écoutes. Mais en attendant, j'ai quand même un gros coup de coeur pour cette chanson, Thieves, la première de l'album, rétro à souhait...





19/04/2010

Naissance d'un blog spin-off: Fan de cupcakes


Juste un petit article sponsorisé par moi-même pour dire aux gourmandes et apprenties pâtissières que je viens de créer un nouveau blog Fan de cupcakes , qui serait un peu le petit frère de Fans de Chick Lit, version j'adore faire des gâteaux américains et je partage ça avec vous! Pas encore de recettes pour l'instant, mais ça ne devrait pas tarder du tout so stay tuned!

Blair & Chuck

Tandis que la troisième saison de Gossip Girl avance lentement mais sûrement vers la fin, la CW nous a concocté une promo spéciale sur notre couple préféré avec récapitulatif de leurs meilleurs et pires moments. Alors, qu'est-ce que cela veut dire? Blair et Chuck vont-ils vraiment se séparer? Le suspense reste entier...

17/04/2010

My 5 fake boyfriends



À mon tour de faire ma version du tag qui circule sur la blogo depuis un petit moment! J'ai décidé de m'en tenir aux séries, vu que j'y consacre une assez grosse partie de mon temps.

Alors, en numéro 5, je nomme DEAN WINCHESTER, joué par le o so sexy Jensen Ackles, décidément le plus sexy des deux frères de la série Supernatural. Le frère aîné de Sam est drôle, il aime le rock, il porte la veste en cuir comme personne, il aime les hamburgers et le whisky, mais surtout il ferait tout pour protéger son frère, même vendre son âme à un méchant démon!

En numéro 4, JORDAN CATALANO, joué par Jared Leto, dans la série Angela, 15 ans. Qui n'est pas instantanément tombée folle amoureuse de lui en même temps qu'Angela? Je ne vois pas... Le high school crush parfait: il est cool, sa timidité cache un lourd secret et (peut-être) des profondeurs inespérées. Au collège, moi et mes copines ne parlions que de lui, et après avoir revu la série récemment, je confirme! Dès que Jordan apparaît, une vraie cure de jouvence: on perd 10 ans d'un coup !

En numéro 3, JESS MARIANO, joué par Milo Ventimiglia dans la série Gilmore Girls. Le neveu de Luke est celui qui vient semer la zizanie entre Rory et Dean, le petit ami parfait, qui ne peut que s'incliner face à l'attirance irrésistible qu'il exerce sur la jeune et innocente Rory, et on la comprend! Il aime les livres, le rock, il sèche les cours, et c'est son côté bad boy qui fait craquer les meilleures d'entre nous...


En numéro 2, je nomme ANGEL, joué par David Boreanaz dans les séries Buffy the vampire Slayer et Angel. Le premier vampire sexy, bien avant Edward, c'était lui, et il a fait craquer cette pauvre Buffy, qui n'a pas résisté très longtemps. Ce personnage méritait bien sa propre série tant l'équipe de Joss Whedon lui a concocté un passé intéressant. Un coup il est gentil, un coup il est méchant, et nous, on fond forcément!

Mais enfin, le numéro 1, c'est évidemment CHUCK BASS, joué par Ed Westwick dans la série (faut-il le préciser?) Gossip Girl. Ce riche héritier a vraiment tous les défauts: il est arrogant, menteur, manipulateur, amoral, etc... Et pourtant, toutes les filles sont amoureuses de lui, à commencer par cette pauvre Blair, à qui il en fait voir de toutes les couleurs!



14/04/2010

I need a dollar

Ma nouvelle chanson préférée, c'est I need a dollar de Aloe Blacc, qui sert de générique à l'excellente série de HBO How to make it in America, dont la première saison très prometteuse vient de se terminer, et j'attends déjà la suite avec impatience!
J'ai un peu la flemme de faire une note, alors je vous renvoie vers celle de Camille la it girl (qui aime un peu moins que moi) :





Et dans cette série joue le super talented Kid Cudi, que j'avais déjà repéré pour cette reprise de Pokerface en compagnie de Kanye West et du grand Common (si ça, c'est pas une preuve de bon goût!)

10/04/2010

Profession traductrice


Eh oui, le travail, sujet parfois peu excitant, fait pourtant partie intégrante de nos vies. Et même si ce blog n'est pas si souvent le lieu de billets persos (bien que vous pourriez arguer que quand on parle de choses que l'on aime, on se dévoile un peu, et donc on parle forcément de soi), j'ai décidé de profiter de ce lieu pour parler de ce que je fais et dresser une sorte de bilan.

Cv:
Nom: Julia T
Âge: 27, bientôt (ô effroi) 28
Profession: Traductrice littéraire (non non, je n'ai pas peur des mots)
Cursus: Bac L, Maîtrise d'anglais à la Sorbonne, puis une école de traduction qui se targue d'être la meilleure de France et pourquoi pas même du monde (selon eux...)

Lettre de motivation:
Diplômée sur le tard (pour cause de rédaction d'un mémoire qui ne m'a pas du tout passionnée) et après des études à rallonge (8 ans, c'est quand même beaucoup pour n'importe quel être humain normalement constitué), je suis enfin devenue il y a quelques mois, voire presqu'un an, ma propre patronne. Sans parler des difficultés inhérentes au métier de traducteur et des considérations linguistiques et idéologiques que celles-ci entraînent (et dans les détails desquelles je refuse de rentrer, franchement, je trouve ça sans intérêt), exercer un métier en free-lance est une entreprise assez complexe. Je vous passe les détails du choix de statut et autres démarches administratives et de gestion dont on est obligé de s'occuper, parce que c'est 1) pas drôle du tout et 2) horriblement chiant!
Le plus difficile, c'est : Comment réussir à faire ce que l'on a envie de faire (dans mon cas, traduire des livres) quand on doit aussi gagner sa vie? Or, le marché de la traduction est quasi complètement dominé par la traduction technique ou juridique, et qui aurait envie de faire ça? Si si, il y a des gens, mais pas moi...
J'avais néanmoins un projet, une idée, qui me permettrait d'entrer par la petite porte de cette profession hautement intellectuelle, et pourtant vivement déconseillée par toutes les personnes bien-pensantes (je cite: "l'édition, c'est archi bouché, tu n'y arriveras jamais. Fais du droit, tu gagneras des sous").
J'avais donc un plan, que je me suis empressée de mettre en branle, et qui a fini, bien des mois plus tard, par payer (au propre comme au figuré)! Je ne sais pas dans quelle mesure je brise ma clause de confidentialité (si j'en ai signé une, je n'y ai vraiment pas prêté attention), donc je vais parler en termes assez peu voilés et très faciles à décrypter: je viens de finir de traduire mon premier roman "à l'eau de rose" et qui s'adresse à un public très majoritairement féminin (on trouve ces jolis livres dans tous les bons Monop)... Vous me suivez?

Bilan:
Durée: 5 semaines
Longueur: Presque 200 pages
Histoire: top secrète
Date de sortie: inconnue au bataillon (j'ai oublié de demander à mon éditrice)
Premier point positif: Même si certaines personnes (et par là je veux dire beaucoup) dénigrent avec joie les nombreux romans publiés par cette maison d'édition, j'ai quand même eu la chance de traduire un roman, un vrai, plutôt bien écrit, avec un début, une fin et un milieu, des personnages plus ou moins complexes, des rebondissements classiques mais efficaces, et les obligatoires "scènes sensuelles", plus communément appelées scènes de cul, et qui sont, ne nous voilons pas la face, la raison n°1 des bonnes ventes de ces bouquins, mais j'aurais l'occasion d'y revenir plus loin...
Deuxième point positif: Quand tu te lèves le matin, tu as du travail, et ça c'est quand même l'objectif n°1 de tout travailleur free-lance. Tu as un projet, un texte long et qui aura le mérite de t'occuper pendant au moins un mois (suivant ta rapidité), et de te faire gagner de l'argent (ce qui est l'objectif n°1 de toute personne qui travaille). Il faut donc ensuite parvenir à rythmer toi-même tes journées, sans patron pour te foutre la pression, et sans collègues avec qui faire des pauses café. La discipline, objet de toutes les curiosités (si je devais compter toutes les fois où on m'a posé la question: "mais comment tu fais pour réussir à bosser toute seule chez toi?"...), est finalement loin d'être un mystère. Comme pour tout travail, tu n'as pas de patron certes, mais tu as un client (ou une éditrice) qui te paye et à qui tu as promis de livrer ton travail en temps et en heure, ce qui est, pour moi, une motivation tout à fait suffisante. En plus, quand on a connu des phases, plus ou moins longues, sans travail et où tes journées entières sont dédiées à la plus totale oisiveté, tu sais que tu es content de travailler. Et finalement, travailler seul chez soi, ça a, comme tout, des avantages et des inconvénients. Tout d'abord, il vaut mieux ne pas vivre seul, comme ça tu es heureux quand la personne qui partage ton appart (en l'occurence, la sista) rentre le soir et que tu peux lui raconter la foultitude de choses passionnantes qui te sont arrivées dans la journée (comme par exemple: "j'ai enfin réussi à joindre l'Ursaaf et j'ai enfin une sécu!", ou "je me suis pris la tête toute la journée sur une scène de cul, le torride c'est pas facile à écrire", etc...). Si tu as en plus des copines qui bossent dans le quartier et qui se font une joie de passer boire un café ou de déjeuner avec toi, c'est encore mieux (ça tombe bien, j'en ai!). Enfin, dernier conseil: tu mets ton réveil le matin, pas forcément très tôt, mais quand même, tu ne peux pas travailler assez vite si tu te lèves à 11h tous les jours et que ta journée de travail commence en réalité à 14h. Le mieux, selon moi, c'est de sortir faire un tour le matin, ça réveille et on prend l'air, et on se fait la 1/2 heure (voire plus) de marche conseillée par tous les bons médecins.
Troisième point positif: Sans vouloir trop en révéler sur les rouages internes de cette grande maison d'édition, tu te rends compte que les personnes qui travaillent là-bas prennent leur travail au sérieux, font leur maximum pour proposer à leurs lectrices des lectures de qualité, et qu'elles respectent profondément les lectrices susnommées (pardon, un petit reste sorti d'on ne sait où des nombreux contrats traduits ces dernières années, et que je m'efforce chaque jour un peu plus d'oublier). C'est pas de la blague, je ne veux pas faire la nénette qui voit tout en rose, mais j'ai été agréablement surprise de constater que les éditrices pensent toujours en premier lieu à leurs lectrices: quelles sont leurs attentes? Comment les satisfaire au mieux?
Moi qui étais plus branchée chick lit que romance, je me suis plongée dans cet univers avec le moins d'à prioris possibles, et je me suis découvert un 'soft spot' pour les princes du désert: qui ne rêverait pas de se faire enlever et séduire par un sublime sheikh? Je trouve que c'est un genre respectable, et que c'est parfois réconfortant de lire un livre, en sachant pertinemment que ça finira bien. C'est dit!

Point négatif: je ne vois pas trop! Franchement, je suis heureuse et fière d'avoir traduit un livre en entier. J'ai trouvé ce travail relativement complexe et assez satisfaisant en fait. Ce qui est facile et difficile à la fois, c'est de respecter un style. Je crois que j'ai même réussi, sans le vouloir, à y ajouter une petite note perso, mais j'ai trouvé que le style me venait assez naturellement (je le prends comme une bonne chose), et je trouve que c'est un bon début...
Je dois aussi avouer que lorsqu'on travaille relativement longtemps, on s'attache aux personnages, moi j'étais heureuse de les retrouver tous les matins et de m'occuper à retranscrire les aléas de leurs vies: "Tiens aujourd'hui, ils le font au bord de la piscine" ou "Ce matin, elle a peur d'être enceinte", etc...
La difficulté numéro uno, c'est les scènes de cul! Ce qui fait rire toutes mes copines évidemment, mais c'est vraiment loin d'être évident! Heureusement, on est épaulée et soutenue de A à Z par son éditrice, qui n'hésite pas à prodiguer moultes conseils et critiques pour les améliorer. Les lectrices, je pense, ne se rendent pas compte de la différence qu'il existe généralement entre le texte en VO et le résultat, c'est à dire la traduction à la sauce frenchy, et ces différences sont encore exacerbées dans les fameuses "scènes de cul". La Vo est souvent crue et quasi uniquement descriptive, mais néanmoins agrémentée de métaphores plus ou moins réussies ou bienvenues. Or, il faut que le résultat soit hot hot hot, et ça, c'est plus facile à dire qu'à faire! Je ne vous donnerai pas mes petites recettes secrètes, ceci n'est pas un cours de traduction...

Donc, pour dresser un bilan des cinq (et quelques) semaines passées, j'ai traduit 187 pages, 4 scènes sensuelles, 8 scènes de bisous plus ou moins hot (selon l'évolution de l'histoire), un scénario rondement mené, et une jolie histoire d'amour de jeunesse longtemps oublié qui reprend vie plusieurs années après. Une expérience enrichissante (là encore, au propre comme au figuré) et qui devrait, à mon grand plaisir, se renouveler rapidement! Voici donc le récit de comment je suis devenue traductrice littéraire (et non, je n'ai toujours pas peur des mots)...

PS: si vous avez trouvé ce billet sans intérêt, je m'excuse d'avance, mettez-le dans les commentaires et j'arrêterai les notes persos (enfin, si j'ai envie ;-)
Crédit photo: we heart it

09/04/2010

Sex & the city 2: nouveau trailer et pleins de spoilers



Bon, je ne veux pas faire l'hystérique de service, mais voilà enfin la vraie bande-annonce de SATC2, et on voit que AIDAN REVIENT! Waouw, j'en connais certaines qui vont être contentes...